La Bolivie est à l’arrêt, il est de plus en difficile d’obtenir du diesel et les queues des camions ne cessent de s’allonger, tandis que nous devons nous approvisionner à l’aide de bidons de 20 litres, vendus au marché noir.
En parallèle Ulysse nous inquiète et nous devons procéder à une nouvelle vidange d’huile. Cela ne nous empêchera pas d’arriver en banlieue de La Paz le soir même après avoir franchi un col à près de 5.000 mètres et découvert nos premières montagnes enneigées.
Les Boudubouts